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HELLFEST XV ACTE 1 CHAPITRE THREE

« Tout l'art de la magie consiste à apprendre à traverser le voile et à amener le feu du non-manifesté à l'existence perçue. » Donald Tyson


EXOCRINE est un groupe de death metal progressif formé en 2013 à Bordeaux.

Un super death avec des solis techniques, efficaces de dingues. Le groupe trouvait une brèche pour pousser sa convulsion musicale avec la souplesse d'un contorsionniste mort. Du napal matinal à tremper dans un bol de lave. C’était une très bonne découverte. Je veux le même réveil tous les jours. Nous avons pris une rasade de riffs herculéens, et un mur du son que tu prends pleine poire avec démence, et à la clef une pluie de pissade sanguinaire.


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Pourvu que Philou ne se soit pas mis au cognac à 11h00 en se levant


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Les Parisiens de GLASSBONE ont activé leur HxC moderne dark cold dans un son ample et volumineux.

C’était un pétrissage de metalcore indus corrodant avec la délicatesse d’une araignée, en train de tisser un insecte en momie. Pendant que devant ça broyait du fer, le chanteur avançait dans son holistique attitude et je voyais le moment où il allait flotter au-dessus des corps.



Au Hellfest le lieu, l’ambiance, la catharsis te permettent de faire partie du trip, d’une communauté et en même temps d’excéder ta zone pour devenir un spinal tap, avec l’ego d’un groupe de hair metOl.


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Les titres de DELIVERANCE perforaient dans leurs immenses maelströms tortueux un sens immersif et spasmodique.

Superbe black, intense et enivrant avec d’anciens musiciens d’ Aqme et Memories Of A Dead Men, produit par le label les Acteurs de l’Ombre.

C’était une lente procession d’affliction qui est capable de vous enserrer comme un serpent, vous prendre aux tripes, tel était le cœur de ce live profondément majestueux, avec "Les parfums étranges des arbres qui s'assombrissent." Selon Carol Ann Duffy


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Pourvu que Philou ne se soit pas mis à la prune à 14h00 pour philosopher


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VILE CREATURE est un trio, un gratteux, un batteur, une chanteuse pour un sludge écrasant. C’était regrettable que la chanteuse criât à 2km du micro, elle me faisait penser à l’actrice Rebel Wilson dans cette attitude de bonne copine libérée.

Le set était tellurique, pour nous cueillir avec de la lave au pied d’un volcan urbain, avec ce télescopage de style, entre un doom qui suppure et un sludge minéral.


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Les présages des comètes et les sortilèges de la terre des diables se réunissaient pour célébrer la musique extrême dans le set de PENITENCE ONIRIQUE.

En plein rêve opiacé des ténèbres, conquis et envouté par leur prestation et de ce black metal féerique de noirceur. Le groupe a fait trembler Orphée dans le précipice nocturne du purgatoire. C’était bondé.

Pendant ce set elle laissait agiter la sculpture d’une nymphe au milieu d’un Everest de flammes soyeuses. Sur ces cheveux, ses yeux, sa bouche, se promenaient d'autres visages, d'autres planètes. Dans son regard se lisait un miroir d’étincelles passionnelles, le premier des longues nuits qu’elle allait vivre à travers les reflets scintillants de Penitence Onirique, entre passion brûlante et bonheur rugissant.


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INGESTED est un quatuor avec 1 batteur, 1 growler qui tient la scène et le public par les corones, et 2 guitaristes. Le bassiste a été mangé sauce samouraï lors d’un BBQ.

C’est du death moderne qui distribue l’énergie et les coups pour que dans le pit ce soit la guerre. Il y a une multitude de style dans leur tambouille, le groupe a bien intégré le Nu metal, death, thrascore, avec des gimmick identifiables qui rassurent la zone de confort attendu. La jeunesse s'est éclatée à mort !


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Ça faisait trois jours de fest, et là ça commençait à puer le rexona qui attire les vielles ronces à côté des chiottes.


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INTER ARMA est une odyssée de stoner/post-metal, les titres poussent dans une substance post-rock qui mène à l’orgasme sonique. Cool.

Le chant putride apporte une dimension caverneuse et ténébreuse à l’ensemble par contraste. Le groupe a un sens inné de la pénétration et des atmosphères, et ce mouvement des entrailles avec ces menaces de fer, de fonte, de lave.



Le metal est devenu un domaine d’étude, à tel point que la sociologie parle des fans avec la même aptitude que les articles d’envergure du web sur la signification de son caractère à travers le choix d’une couleur, d’un animal caché, de tes mains, etc…C’est d’un chiant, mais foutez-nous la paix à la fin.


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Beaucoup, beaucoup de monde, REGARDE LES HOMMES TOMBER était attendu. Le set était puissant, irascible.

Maitre d’un son et d’un alliage moderne de black metal inoxydable. Un set colossal ou l’en entendait crépiter tout un sanctuaire de cathédrales végétales intuitives, là où la merveilleuse puissance des réceptacles de lumière enivre la vallée sombre.


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Pourvu que Philou ne se soit pas mis au muscadet à 16h00 pour le goûter


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Scéniquement TWIN TEMPLE c’est un spectacle parfait et unique de Doo-Wop satanique.

Duo démoniaque d’Angleterre avec un sosie de Fred Chichin des Rita Mitsouko à la guitare, et une Amy Whinehouse aka Winona Ryder dans Beetlejuice. Ils sont accompagnés par des cuivres.

Fervents adorateurs du diable et méticuleux conservateurs du rock’n’roll, ce duo vêtu de noir a créé un son qui allie l’idéologie satanique aux mélodies classiques du rock des 50s et des 60s, avec l’esprit de Coven. L’édition limitée de 666 vinyles de leur premier album est collector.

Musicalement c’est la prestation d’un groupe de Rythm & blues avec tous les codes scéniques, extrapolés en rituel satanique, versus Aleister Crowley & Antan Lavey. Le concert et concept sont une réussite. Pour le futur, je vois dans la boule de cristal une déclinaison en chacha mexicain de la muerte.

Puissiez-vous régner cher Twin Temple dans le sang et le lait, que vos noms soient pleurés dans l'extase et hurlés par des guerriers, puissiez-vous créer et détruire tout ce que vous voulez, que toutes les têtes de ceux qui se tiennent dans votre chemin soient coupé sur votre chemin pour donner naissance à votre Soi le plus élevé et à votre Grand Œuvre.

Hail Satan is gorgeous !


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Tu te souviens de la date de la victoire de Marignan en 1515, et tu ne retiendras pas celle de 1349 puisque le groupe a annulé sa venue.

J'allais me restaurer...


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Côté Metalcorner le françaouis calottait du Highlander à coups de pastis et remettait du jaune à qui souhaitait être étourdi par le péché du vieux port. Un gonze me proposa l’anis étoilé, je lui répondis avec la soif d’un touareg que j'étais sXe.


MONUMENT dispose d’un metalcore hyper pointu, avec du djent.

Le set est rodé, la maitrise technique est efficace, un sans-faute, bravo, mais très peu d’émotion reçue.

Une troupe d’adolescent avait la bouche béante d’admiration. A cet âge on est impressionnable, il nous semble que l'on ne quittera jamais cette terre où le moindre regard est une invitation à l'inconnu, où le moindre frémissement devient une électrisation de tous les fantasmes, où chaque minute vécue est capitale et symbolisera plus tard l'ironie d'une aigreur, si l'on en avait retenu l'aisance de s'accomplir.

Si le groupe leur avait demandé de torcher le fion du voisin avec leur langue, nul doute que la troupe se serait exécutée avec autant de panache que des parachutistes défilant le 14 juillet.


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Le HxC moderne de COUNTERPARTS est efficace.

Le set produit par les Américains abondait sa dose de contusion, de contentieux musicaux pour une translation contemporaine.

Je trouve que la génération montante est parfaite. Elle bosse fortement, possède un bagage technique incroyable à son âge, l’apprentissage musical est abouti, elle capte tout rapidement, va directement choper la bonne information avec maitrise, et l’apport d’une communication qui est à sa disponibilité. Elle a des moyens conséquents.

La sensation qu’elle est diamétralement beaucoup plus efficace, aboutie, irréprochable. Malgré les deux années de privation, mais ceci est identique à tout le monde, il me semble néanmoins qu’elle ne connait pas la merde, la loose tel que les anciennes générations ont subi. Il fallait batailler pour obtenir une info, c’étaient des plans galères, la débrouille permanente. Fallait te coltiner à écouter comme tu pouvais un tas de trucs pour tomber sur le graal. Faire entendre sa musique demandait une implication et des moyens étendus. Fatalement cette jeune génération est parfaite, mais n’a pas une identité, une force que la difficulté impose, une âme que la souffrance dispose. Sa damnation à elle est d’être une attraction éphémère.

J’espère me tromper, et j’accorde à cette jeunesse de trouver le sens révolutionnaire de changer la face du monde, comme le rock a fait basculer pendant chaque génération un style musical, un mouvement, une communauté, une mutation propre à chaque génération. Je trouve aussi que la pop envahie tout et trop. Le festival a évolué et les dinosaures meurent. Tout change, évolue, inutile de retenir le temps par peur de l’avenir, le Hellfest ne stagne jamais, son succès il le doit à sa transmutation permanente, remise au goût du jour, à flâner l’air contemporain, choper les tendances, les modes, c’est une affaire de spectacle vivant dans une société du spectacle en format XXXL. Bien entendu, l’underground est représenté, il fait partie intégrante de cette évolution.

Enfin bref, Counterparts a filé et infligé une fessée cul nu à des hardcoreux excités...

Dans le pit j’apercevais un gars qui avait dû faire ping pong comme sport de combat, il est venu percuter tel un ver de terre un crampon de rugby de village, vu que la tige fut instantanément couché au sol et que l'autre n’a pas bougé un cil comme Chabal devant un plat de carotte vapeur, à coup sûr le buffle a dû penser que c’était un soigneur qui était rentré sur le terrain.


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JINJER est le pelvis féminin.

Elvis a fait évoluer la liberté féminine en lui donnant la validité de ses émotions. Les femmes dans le metal, et même et surtout dans la pop dont elles monopolisent les charts, sont en train de faire muter celle des hommes. Les rôles ont changé, les codes, l’état d’esprit prend, lentement, mais trace son dessein, non pas féministe, mais d’une compréhension qui se détache du patriarcat. Enfin.

L’homme peut pleurer et la femme se contusionnait au roller derby.


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RED FANG c’est les Voivod du stoner.

Le stage diving est revenu pendant ce set à la valley, pleine à pétée, incroyable.

Le groupe a fait tonner ses breaks et du contraste dans chacun de ses titres, hum, et ça a cassé l’enthousiasme du public qui attendait l’explosion d’un groupe de stoner classique. Là, leur muzak faut mâcher un moment, ravaler son attente. Il aurait fallu un Slo Burn à la place pour attiser le feu et la flamme à remuer les enfers et les croupes.


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La prog de la valley a perdu une partie de son âme doom/stoner cette année

Pourvu que Philou ne se soit pas mis au pastis à 18h00 pour l’Apérooooooo


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Je n’ai pas apprécié le heavy de BORKNAGAR. Les Scandinaves ont dans leur culture musicale des mélodies, des sonorités que tu entends au concours de l’eurovision. Là s’en était pétri. Pas mon trip, c'était chiant.


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Comme mon pote Junk cacahuète apprécie MAXIMUM THE HORMONE, je suis passé devant ce groupe qui mixe un délire manga One Piece hystérique, avec la fusion pop punk et les contorsions du crossover 90’s (System Of A Down, Infectious Grooves), pour les ressortir dans un jus de jumPunk metal à roulette.

Comme je suis punk je ne me suis pas arrêté, le public a kiffé ce trampoline frappadingue, les japs bondissants offraient une prestation pleine de convulsion à leur délire.


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Pourvu que Philou ne se soit pas mis à l’armagnac à 19h00 avant de rentrer sur scène


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Les darons de DOWN ont remis du heAvy à la mainstage. Philou était en forme, quelle voix ce mec, lui aussi il aura sa statue un jour, c’est une iconique emblématique du festival. Le Hellfest ne lui a jamais claqué la porte au nez à cause des maladresses de l’emprise d’un homme alcoolique.

Il figure dans mon top 5 meilleur chanteur metAl.


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Down nous a plongé dans son south, sa profondeur, son façonnage, son essence. Le son était souple, épais, peut-être une lichette de plus aurait eu un impact plus pénétrant. Mais bon, c’était génial, les titres caractéristiques sont venus offrir un panel de la discographie du groupe, son groove, sa force.

L’interprétation a fait son job, Philou est resté dans une zone aimable. On sentait qu’il fallait que le bonhomme face amende honorable pour que Down puisse démontrer des valeurs de respectabilité.

Pas de gimmick, pas de prise de parole à raconter des conneries, pas de réjouissance, pas plus d’envie, juste un set jouer avec le cœur.


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MISERY INDEX nous a donné du deathgrind oldschool, pendant que la foule se gavait de la soupe en sachet de Korn de gazelle.

Nous pouvions respirer à plein poumon le putride, d’un set concis, tapant sur nous comme sur un sac de boxe. Ce fut une rouste monumentale.

La fascination schizophrène de la violence dans la culture américaine est son complexe paranoïaque, et symbolise le traumatisme subi par la victime individuelle.

Le death en prolonge la fascination de manière musicale et visuelle.


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PERTURBATOR endocrinien du metal, aka James Perturbator Kent a sulfaté sa synthwave ténébreuse à un public électroniquement en phase avec les dispositions de la mutation metal tronique post-punk electröghot.

Je trouve que ce James ressemble (même physiquement) à un Burzum jeune, ivre de créer son envergure avec transcendance et détermination.


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J’avais mis de la sauce piquante dans mon assiette de bouffe indienne veggie, à 10 euros la barquette (gaspppppp), exprès pour chatouiller les hémorroïdes si jamais la lame Britannique de JUDAS PRIEST n’aurait pu assurer son taux de pénétration. Mais la petite coquine d’Halfort n’avait pas sa langue dans sa poche surprise, mais bel et bien dans nos trous de balle à nous léchouiller avec un set de Heävy metOl d’antan.

Rob (bientôt 71 ans) était livide, il marchait comme un zombie (foutu crabe), c’était effrayant à voir. Toutes les 2 chansons il retournait dans les coulisses, côté jardin. J’sais pas ce qui s’y passait, mais cela lui faisait du bien à chaque fois, de jeunes éphèbes infirmiers peut-être…Son chant est toujours aussi tenace. Bello !

Le public a apprécié de revoir ce monument vivant du metal (50 ans de présence), et cette musique venir souder la fonte des fondements des musiques extrêmes.

Judas Priest ce sont les derniers vestiges de la sidérurgie britannique, et en live le groupe déploie avec autant de menace métallique que la lame de rasoir musicale du groupe, cuir et chaine inclus, grrrr !


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A la Warzone ça sentait le camphre, l'elasto et la bière bien fraîche, comme dans le vestiaire du rugby club de Montredon Labessonnié dans le 81, WALLS OF JERICHO a entamé son set de commando marine de façon brutale, qui n'a rien à envier aux films gore d'Eli Roth.

Dès qu’elle sort de son plumard Candace Kucsulain commence par 130kg au développé couché, et avec la warzone comme litière WALL OF JERICHO nous a chié dessus tout le set, et très fort, de manière brutale, oui je me répète, j'insiste bien sur le mot, qui a son importance.

Dans le pit c’tait régalade de chifarnasse, fourchette dans les yeux, pince couille, épaule déboitée, membre arraché... Dans le tumulte, j’ai vu une nana très jeune, j’sais pas 18/20 piges à peine, aussi grande et fluette que 3 pommes, elle moshait vénère en plein dans une meute de touch guy. Quand Franck Carter demande que les gars protègent les filles pour qu’elles puissent participer au pit, apparemment non seulement il ne connait pas cette femme, ni la vaillance des femmes en général.

« Elle voulait une tempête à la hauteur de sa rage. » George R.R. Martin

WOJ a fourni un set consistant, pétri de lourdeur, de hargne, de castagne. Musicalement c’était chiant, mais impec pour les véloces du pit-boxing.


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CORONER ce sont vraiment les patrons du thrash prog crossover. Quel génie, quelle maitrise dans l’exécution, c’était incroyable une fois encore.

Le son était volumineusement lumineux, l’interprétation incroyable, la set-list gargantuesque. Je n’aurais pas de mots assez puissant et panégyrique (élogieux) pour traduire leur concert.

Bravo, bello, magnificooooooooooooooooooo !



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WATAIN fut incandescent, et c’est peu de le dire.

Le chanteur, maitre Danielsson après avoir allumé quelques flambeaux autour de lui, à la surprise générale, a balancé sa torche en flamme dans le public. Badasssssssssssss !

Tu basculais dans l’instantanée dans un level où le danger est permanent. Le concert a été immense, embrasant chaque titre dans une cuisson parfaite pour nous faire rôtir. Le chant calcinait leur black metal étincelant, brûlant d’atours fastueux, assourdissant de force retentissante. Des riffs stridents calcinaient sans arrêt d’une démoniaque cautérisation.

DU GRAND WATAIN DES ENFERS !!!


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Je finissais tout de même par faire un petit tour pour la fin de concert de RUNNING WILD, pirate de la mannschaft.

C'est du heavy-power metal, leur album emblématique « Under Jolly Roger » de 1987, a forgé le style Pirate metal avec le succès d’Alestorm.

J’ai arrêté après leur opus « Masquerade », mais j’étais content d’entendre cette flibusterie, à coup de solis poweresques, collant parfaitement avec l’ambiance maritime de la Bretagne, et d’une fête de boucanier. C’était cool de voir pour de vrai la ganache du capitaine Rock’n' Rolf Kasparek aussi, son chant est conforme à l’idée que je mettais faite.

Le Hellfest 15 ème éditions, acte I part three se terminait, dans cette sarabande heavy. Le site se vidait, la plupart des festivaliers rejoignaient leur tente pour tomber dans le sommeil...enfin, avec grand espoir...Mouahahahahah (rire satanique)


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Il y a de la magie dans tout ce qui vous oblige à être patient pour vous dévoiler pleinement. J'ai mis toute la densité que j’ai reçu durant toute la journée dans ce report, cela parait futile d’écrire sur la musique aujourd’hui, photo et vidéo sont suffisamment porteur de témoignage sur les réseaux sociaux. Mais bon, il reste encore quelques folles et fous pour lire.

« L'herbe est ligne, la terre un cahier, et je suis l'encre de ce lieu » Adonis

CiaO)))

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Merci à Roger Wessier et Hellfest ; )