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Plus trop de pensée écrasante, ce torchis qui monte des cabanes de doutes. De moins en moins de tension électrique à se comparer à d’autres aussi. Pas trop le goût de la lutte non plus, désormais il y a un bras d’honneur en permanence dans ma tête qui libère de tout frottement. Bon, il ne faut pas trop insister à me casser les couilles non plus, je connais mon latin. Mais je sens tout de même la sagesse dans toute sa forme de ‘’plus rien à foutre’’, sans avoir d’attente. 50% Namaste 50% Go Fuck Yourself avec le groove d'un film de Quentin Tarantino en le disant.

On vieillit avec ce cheminement qui a fait tout un foin et feu de paille pendant des années, pour se retrouver avec son rire de gosse et des braises dans le cœur. Oui je suis adepte de cette contemplation dont on m’a reproché le penchant très tôt. Enfant le temps défilait sans moi. J’éclipsais une échappée lunaire annotée par des maîtresses et maîtres en reproche sur l’ensemble de mes cahiers d’écolier. Je m’évanouissais dans ma nature, présent, mais en marge. Avec le temps il nous semble que nous changeons, en fait nous évoluons dans différentes strates vibratoires, mais à bien regarder de près, les êtres contemplatifs ne seront jamais vraiment là, présent oui, mais dieu sait où ? Je conserve encore cette absence. Je pense que les rêveur.ses ont une âme qui discerne leur dernière existence dans la contemplation.