Les cinq musiciens d'Alienist ont sorti "Love/Hate" via UNFD, transgenre de la dichotomie metalcore et dans cet équilibre agité entre deux forces cohésives mais opposées, qui frappe finalement le cœur aiguisé de ce premier E.P.
Composé de Lachlan Forsberg (chant), Damon Renes (guitare), Anthony Vella (guitare), Chris Olliffe (basse) et Jake Ceely (Batterie), les titres traversent thématiquement les thèmes de la religion, du doute de soi, des luttes relationnelles et de la santé mentale, "Love/Hate" équilibre ses instrumentaux brûlants et ses couches aux côtés d'un contenu émotif. Qu'il s'agisse de lutter contre des idéaux religieux parallèlement à une exécution imposante (Godless), d'affronter le monde en ruine avec un tourbillon de distorsions (Distorted Reflections), de détailler une rupture d'amour sur des guitares turgescentes et des rythmes torrentiels (Absent), de chercher l'espoir et un but dans la créativité (Hypnotise), ou servant un commentaire mordant sur une relation toxique (Prisoner Of You), "Love/Hate" voyage dans un mouvement personnel et universel.
« Nous explorons beaucoup de thèmes différents sur cet EP », révèle le guitariste, chanteur et auteur-compositeur principal Damon Renes, « mais évidemment, le thème général est l'amour/la haine et le fait qu'il y ait une si grande dichotomie entre les deux mots en même temps. temps.". "Les gens font beaucoup de choses qui sont haineuses, et pourtant utilisent le mot pour lequel ils le font comme "amour" et vice versa", ajoute Renes. « L’amour peut aussi vous pousser à faire beaucoup de choses haineuses. L'EP explore les relations avec la religion, mais il explore également les relations toxiques, les relations abusives et l'effondrement de relations dont vous pensiez qu'elles allaient être votre « pour toujours », et ce que vous ressentez lorsque vous réalisez que cela ne sera pas le cas. » "Il explore toutes sortes de thèmes et j'espère que certaines personnes écouteront les paroles de certaines chansons et réfléchiront vraiment à leur propre situation. Ou s'ils sont coincés dans une situation dans laquelle ils ne sont pas heureux, ou dans laquelle ils ne se sentent pas en sécurité - j'espère qu'ils ne se sentent pas seuls dans cette situation et qu'ils peuvent obtenir de l'aide ou obtenir le soutien dont ils ont besoin.''
Le groupe de metalcore mélodique BLOOM a sorti « Maybe In Another Life » le 16 février 2024 - leur premier pour le nouveau label, Pure Noise Records.
Formé en 2017 Bloom explore les thèmes allant des relations brisées au deuil de la perte d'un membre de la famille. Leur capacité à transmettre des émotions profondes à travers une écriture de chansons fulgurante et en plein essor avec des refrains et des refrains mémorables émulsionne un metalcore avec des paroles émouvantes sur une double voix passionnée
Le titre « Maybe in Another Life » parle de l’anxiété qui peut être enfouie dans le fantasme. Les paroles mettent en contraste l’expérience d’une existence sordide et l’indulgence de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait être. La chanson passe d'un désir onirique à une lamentation sur la dureté de la réalité, ici comme dans le reste de l'opus le groupe alimente sa musique par cette alternance émotive et criarde. L'auditeur se retrouve avec un sentiment de nostalgie aux moments culminants avec une instrumentation symphonique envolée qui alimente les affres.
Il faut laisser bercer l’âme torturée de cette musique malgré tous ses maux intérieurs tout en acceptant les imperfections et en ressentant toute l'intensité dans son cœur.
Les cinq musiciens d' Alienist ont sorti "Love/Hate" via UNFD, transgenre de la dichotomie metalcore et dans cet équilibre agité entre deux forces cohésives mais opposées, qui frappe finalement le cœur aiguisé de ce premier E.P.
Composé de Lachlan Forsberg (chant), Damon Renes (guitare), Anthony Vella (guitare), Chris Olliffe (basse) et Jake Ceely (Batterie), les titres traversent thématiquement les thèmes de la religion, du doute de soi, des luttes relationnelles et de la santé mentale, Love/Hate équilibre ses instrumentaux brûlants et ses couches aux côtés d'un contenu émotif. Qu'il s'agisse de lutter contre des idéaux religieux parallèlement à une exécution imposante (Godless), d'affronter le monde en ruine avec un tourbillon de distorsions (Distorted Reflections), de détailler une rupture d'amour sur des guitares turgescentes et des rythmes torrentiels (Absent), de chercher l'espoir et un but dans la créativité (Hypnotise), ou servant un commentaire mordant sur une relation toxique (Prisoner Of You), "Love/Hate" voyage dans un mouvement personnel et universel.
« Nous explorons beaucoup de thèmes différents sur cet EP », révèle le guitariste, chanteur et auteur-compositeur principal Damon Renes, « mais évidemment, le thème général est l'amour/la haine et le fait qu'il y ait une si grande dichotomie entre les deux mots en même temps. temps.". "Les gens font beaucoup de choses qui sont haineuses, et pourtant utilisent le mot pour lequel ils le font comme "amour" et vice versa", ajoute Renes. « L’amour peut aussi vous pousser à faire beaucoup de choses haineuses. L'EP explore les relations avec la religion, mais il explore également les relations toxiques, les relations abusives et l'effondrement de relations dont vous pensiez qu'elles allaient être votre « pour toujours », et ce que vous ressentez lorsque vous réalisez que cela ne sera pas le cas. »
"Il explore toutes sortes de thèmes et j'espère que certaines personnes écouteront les paroles de certaines chansons et réfléchiront vraiment à leur propre situation. Ou s'ils sont coincés dans une situation dans laquelle ils ne sont pas heureux, ou dans laquelle ils ne se sentent pas en sécurité - j'espère qu'ils ne se sentent pas seuls dans cette situation et qu'ils peuvent obtenir de l'aide ou obtenir le soutien dont ils ont besoin.''
« Live In The Valley » » est sorti numériquement le 26 janvier 2024 sur toutes les plateformes numériques. L'album contient des chansons des albums « Kin » et « The Valley » et a été enregistré en direct lors du 7e spectacle-bénéfice de Noël annuel du groupe le 22 décembre 2022 à The Mill & Mine dans leur ville natale de Knoxville, Tennessee.
Le guitariste Alex Wade avait à dire à propos de Live In The Valley : «Nous avons décidé d'enregistrer l'audio de notre 7e spectacle-bénéfice de Noël annuel dans notre ville natale en 2022, où nous avons joué un set mixé de nos albums 'The Valley' et 'Kin'. Nous avons pensé que ce serait une bonne façon de clore le chapitre de ces albums avant de commencer l'enregistrement de notre 9ème album. L'audio a été enregistré, conçu, mixé et masterisé par notre propre Zach Householder et nous sommes enthousiasmés par le résultat. En plus de l'audio, nous avons tourné 2 vidéos en direct pour accompagner la sortie de l'album live.
Whitechapel force le respect, il a su faire évoluer son deathcore furieux des débuts vers un metalcore et faire retentir son aura à travers une ample discographie. En live c’est une véritable machine de guerre avec le goût de cendre de toutes les pensées sombres que je n’ai jamais eues. Oui, j'ai passé des nuits blanches, j'ai perdu des personnes très chères, j'ai fait des choses que je n'avais pas promises. Plusieurs fois j'ai abandonné sans essayer, parfois j'ai pensé à m'enfuir, pour ne pas y faire face, j'ai souri. Mais je continue à apprendre. Whitechapel force le respect parce qu’il a aussi cette démarche musicale dans ses créations, il approfondit ses contrastes dans son apprentissage existentiel, en concert l’on ressent toutes les déflagrations soniques. En 13 titres la cuvée Whitechapel 2023 abonde d’une hétérogénéité catchy avec laquelle l’on sent tout le souffle, la puissance, les métamorphoses viennent exploser, se blottir dans ce live.
Si vous savez réparer des K7 audio avec un stylo alors vous êtes prêt à lire ce report.
Vincent Big Jim à la vidéo, Junk cacahuète à la photo et oim à l'écrit, un trio isocèle représentant le webzine/fanzine/vidéozine : WallaBirZine, avec comme unique mot d’ordre du zguen !
Vendredi 28 juillet 2023 la température au sol est aussi cool que s'annonce cette 10ème édition de l'Xtremefest. Toujours à Cap Découverte, ancienne mine devenu parc de loisirs et d'aventures pour toute la famille, mais avec un déplacement de quelques mètres qui fait toute la différence.
La passion est un feu et non une image immobile, l’Xtremefest a choisi de poursuivre son aventure humaine en changeant de lieu, pour ne pas stagner dans la facilité. C’est dans ce mouvement qui a plus de vie à l'intérieur qu’il parvient à jumeler à son ressac la saveur d’un nouveau rivage.
L’intensité coule comme un rite de passage, un message qu’il faut savoir écouter, Pollux asso et tous ses bénévoles ont bravé la tempête de cette fête anniversaire, de ce nouveau départ, et vécu sans jamais être absent. Bravo à eux !
Premier constant le lieu est plus grand, mieux aménagé, de suite tu te sens à l'aise, en plein air, comme dans le Gers. D’ailleurs je débute les concerts avec le groupe THE BRANLARIANS, skinhead reggae roots de Preignan rocksteady city beat. Les gaziers de ce groupe ont organisé la semaine du Ska à Toulouse pendant quelques lunes et le festival Rock'n'Stock...Même si la période covid a tout foutu sous le tapis, il y a eu une date de plusieurs concerts à la fête à Preignan pour cet été 2023 avec la participation du trio de punker desprestif Ben&Fist.
Je constate un nouveau line up pour un bon punch, bon mood. Ça dandine du croupion dans la fosse entre Kingston et Brighton avec veste patchée à l’effigie de Sépultura à Motörhead. C'est vrai que côté dance-floor le rocksteady et skinhead reggae des Branlarians & The Slakers a remué le cool, les jupes des filles, et fait gueuler les gaziers avec le déhanché d’Aya Nakamura. Merci pour cette programmation, j'espère qu'il y aura d'autres groupes de cet acabit l'an prochain, du rocksteady au ska, mais pas de ska festif, ne déconnez pas hein !
Le site du festival est donc composé de 2 espaces. Un Off gratuit avec une scène et à proximité une tente de merch pour les groupes qui y jouent. Il y a aussi un village d'exposant avec Mr Cu ! de la Kicking corporation qui était dans son standing de revendeur de merchandising, logeant dans un hôtel 5 étoiles avec baignoire à débordement, et son vendeur de LP de Francis Cabrel couchant dans le van avec les cartons, t-shirts, casquettes, livres, suppositoires. Il y a bien entendu des bars, toilettes, une rampe de sk8, des food trucks, ainsi qu'une animation au doux patronyme ‘’de charcuterie musicale’’, avec un DJ organisant un blind test et que l'on retrouve le soir en mode dancing caliente fiesta del luna.
La scène du OFF se nomme L'Estafette. C'est surtout une scène itinérante inventés par les fadas de pollux asso (Agitateur musical depuis 2000) et porté par Xfest Org. L'idée est de rallier sur le territoire du ségala et du Carmausin un circuit culturel diffusant un spectacle live en un véritable moment de rencontre et d’échange entre les habitants, les artistes et les bénévoles des associations. Le cœur du projet du festival résonne dans toutes les consonances libertaires, créatives en un manifeste humaniste.
L'autre espace est payant avec la grande scène Family Stage sous un préau (comme à la petite école où Edwige Viala m’avait embrassé de force alors que je rêvais qu’à être dans la Lune) et la fameuse X cage, puis des bars, wc, merch des groupes.
La X cage forme une scène atypique avec de fait une sensation, vision unique, dont l'xtremefest est capable. Cette scène était positionnée sur une plate-forme et forme un cercle quadrillé de ferraille. Si vous avez déjà visionné le film Mad Max 3 vous savez ce qu’est le dôme du tonnerre, sinon un match de MMA pour l’équivalence. Grâce aux grillages les combattants ne peuvent pas rentrer dans le podium pour ne pas gêner les musiciens, mais l'on pouvait y grimper, s'accrocher dessus quand elle était positionnée au camping les années précédentes. Celles et ceux qui avaient l’habitude de s'y suspendre n’ont pas bien saisi l'interdiction de cette édition. C’est vrai que cela enlève au charme, à la Violence scénique, à la beauté du geste. Bien entendu certains y parviennent avant de se faire gentiment déloger. Bon il y a quand même un gars d'une soixantaine d'année, surnom le Gaulois, maçon de son métier, le type est caput (têtu) et c'est peu de le dire, puisqu'il aura passé son week-end a monté dessus. A un moment il est même arrivé à passer entre les mailles de fer pour rentrer à l’intérieur avec le groupe, un gars de la sécu est venu et il est repassé par le même endroit, le filou.
La X cage posée sur la plate-forme a servi de rampe de lancement aux slammeur.ses. Je pense que la renforcer et permettre au public de s'y accrocher l'an prochain lui emmènera une légitimité, ou faudrait rajouter un plongeoir ?
Il y a eu différents mood pendant le week-end entre hardcore, metalcore et postcore, mais ce premier jour c'était du synthol à la grosse cuillère avec un ball-trap HxC. Par exemple le groupe M.O.S.H a gagné son stage commando dans le Sidobre avec un bataillon de hardcoreux fan de la légion étrangère, pour apprendre la lithothérapie contre un calbas en granit. En étant bas du front le groupe a démêlé son énergie pendant que la fosse se foutait en mêlée. Le public a trippé les côtelettes soniques de Method Of Southern Hardcore sur son punch HxC, avec wall of death, circle pit, slamdiving…Les Toulousains ont fait jouer les mains et les coudes dans un pit qui se chauffait bien en encloscage. De toute façon le public était venu pour cela cette année de toute façon.
J’ai été troublé par TEN 56 et son mood hip hop avec un bruit de fond indus pour un fracas hardcore. Le groupe triture les méandres de la psychologie humaine et inocule ses écorchures musicales comme un venin. Dans la fosse c'était comme quand tu sautes dans le grain bain la première fois à la piscine municipale, impressionnant. Pendant que le groupe murait sa fortification sonique en électrisant une connectivité avec l'Xtremfamily, son rouleau compresseur oppressif déployait sa vigueur et une envergure immense pour une rave-party hardcore où tout se fracasse.
J’ai déjà vu POINT MORT au Hellfest 2022, chroniqué leur album « Pointless... », je voulais voir The Slakers. Vincent Big Jim a adoré le set de Point Mort. Ce qui est beau avec la musique, c'est que tu ne peux pas la toucher, alors qu'elle peut te toucher là où elle sait que tu l'entendras le plus...Ce groupe parvient à désobstruer toute la calamine atrabilaire de son postcore, mais le plus fort c’est qu’une fois la combustion de son résidu pessimiste devenu presque invisible, cela augmente une sensibilité dans sa force sonique, tel un équilibre des forces qui agite, suspend dans le fiel et le ciel une musicalité féroce et féeriquement ténébreuse.
Dans un esprit de guinguette les SLACKERS ont ravi la mixité sociale du Ségala venu danser sur le rock steady beat et ska oldschool des New-Yorkais. Whaouuu quels musiciens, quelle osmose en plus, du grand, très grand groupe. Culte même. J’attendais depuis pas mal de temps de les voir en live et je suis béni d’un set magnifiant à ce point une discographie racée. Le cool des ricains suivait les pas de danse de New-york aux tropiques en venant en Europe tel Ernest Hemingway avec la conclusion que ‘’l’Xtremefest est une fête’’. Une variété d’hymne à la joie et quête mystique du "vraie" concert, voilà à quoi vous attendre en venant ici. Il y eut la cover « Like A virgin » de la Madone interprété en mode duracell.
Tu cherches toujours dans tous ceux que tu rencontres une réponse. Ce vendredi c'est joué une chair musicale animatrice des volcans et d'orages ensorcelés d'extases, parfait pour permettre à l'xtremefamily de s’agrandir.
A l’xtremefest tu retrouves plein d’ami.es du grand Sud. Gwardeath arrivait avec la saveur de l'océan qui sent le lilas à la fin du mois d'août et Guillaume Circus la crème solaire collée à un ballon de beach volley. Les frangins d'Enlòc avaient du roquefort dans les yeux, les cascadeurs de No Futal ont plié une voiture de location en châtaigne Corse, les Albigeois étaient en nombre à zguener, tout comme le bassin Toulousain était paré à la castagne. Il y a eu à travers tout l’hexagone un aiguillage qui commence à s’étendre de plus en plus comme point de ralliement d’un festival à ne surtout pas manquer. Je pense notamment aux déçu.es du Hellfest, devenu trop grand, trop cher, trop mainstream, et dont l’évolution verse de plus en plus vers des festivals à taille humaine, avec des valeurs associatives, ou en tout cas non porté.es sur la spéculation, le capitalisme et les vertus entrepreneuriales de la société du spectacle.
Back to the real & truth (True) !
HARD MIND et son HxC metal a catapulté une sauvagerie herculéenne aussi énervé qu’une machine à café Delonghi à tous.tes les combattant.es.
Si la nature de la vie ne répond à aucune loi, aucune règle. Elle est impermanente dans un fracas permanent, et cette nuance Hard Mind l’a bien pigé, ohhhhhhhhhhhhhhh yeah !
« Je veux du sang par terre » phrase métaphorique d'avant match en ovalie qui ici a été mentionné par le hurleur du groupe. Grosse fournaise dans la fosse et c'était déjà un gros apéro pour les fans de Terror. Il me semble qu'il y a un nouveau public, apportant une densité plus enlevé. Hard Mind a produit un set électrochoc et le public avaient les dents serrés tout le long. Ouaip c’était dur, ample et un beau bordel partout. Derrière la férocité du groupe et la hardiesse des guerrier.res, les gens prennent leur panard, peinard aussi, sans problème.
TERROR n'était pas venu pour épiler des framboises, Très groooooosse charge des Californiens, d'une lourdeuuuuuuur apoplectique. Au jeu de puissance le groupe a poussé la fonte d'un public en acier trempé...de sueur. Ce fut une grosse mandale pour un gros choc. C'était un mur à escalader avec le plomb du soleil de Californie et l'asphalte de Los Angeles comme tapis de réception. Un quinquagénaire avec un t-shirt de Gorilla Biscuit a fait du slamdiving galipette à fond les ballons. L'agitation dans le public était comme une nature sauvage, elle s’agitait parfois jusqu'à atteindre la douleur, comme un tatouage d’ecchymose sur une peau collante. Ami(e)S du pit, la douleur partira une fois qu'elle aura fini de t'enseigner.
LANDMVRKS a réactivé son patchwork musical metalcore, son épaisseur et son dépouillement avec concision. Le jeune public est friand de cette homogénéité sonore, que l'on retrouve d'une autrefaçon chez POGO CAR CRASH CONTROL, dont les paroles sont repris dans leur intégralité par les premiers rang. Les deux entités ont promulgué cette ferveur idoine à une jeunesse cherchant ses modèles dans l'attractivité pléthorique du web.
MADBALL est venu comme une extraball hardcore sauce harissa, en démantibulant une déflagration du beat de la grosse pomme pour faire de la compote dans le pit. Miam, miam. Parce que dans la fosse s'était un assortiment de couteau à huître à ouvrir des poches d’air et de brèches, avec des circle pit façon course poursuite et dérapages en voiture avec Pierre Palmade sur le parking d’Auchan. Freddy Cricien est revenu à l’Xtremefest avec une étincelle de mobylette dans le starter qui n’était pas là avant. Aussi rebondissant comme balle de flipper le gars a poussé les compteurs des moteurs à explosion du pit dans le rouge. Carrément !
Les grands winners du jour sont :
Les personnes innovantes venues à vélo depuis Carmaux (elles se reconnaîtront) et qui ont inventées une piste cyclable dans la nuit de vendredi à samedi pour éviter la maréchaussée et rejoindre leur home sweet home, elles vont recevoir gratuitement sur leur téléphone des publicités de poche urinaire.
Puis il y a la personne qui s’appelle Serge, fan de vide-greniers qui marche les mains dans le dos, elle sera adoptée par un couple de hollandais dans leur mobil-home à partir de l’été 2024 et fera une étape pour l’Xtremefest l’an prochain.
Bravo à eux !
Vous pouvez admirer le portfolio de Junk cacahuète au us d’orange sanguine sur la page FB du WallaBiZine.