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XTREMEFEST - Samedi 03/08/2019

Chaude ambiance à Røckaway Beåch, enfin...dans le trou de Cap Découverte pour le record du monde du plus grand circle pit aquatique. Le résultat fut une très Grosse poilade et un pari tenu face à cette connerie monumentale !

Le crew de l'Xtremefest a de la suite dans les idées et une couillardise à la hauteur de ses ambitions fraternelles. Créer un festival en osmose avec les relations humaines et la sérénité festive de cette liturgie sonique, rejoint le projet de cette farandole nautique, en adéquation participative avec le site de Cap Découverte. L’équipe du WBZ a concouru à cette offrande aqueuse avec une ostentation naïve pour Junk Cacahuète par le biais d'un déguisement à fourrure. Avec un tel truc sur le corps et par temps sec c'est très vite insupportable, le hic c'est qu'une fois dans l'eau, certes tu n'as plus chaud mais tu coules avec le poids trempé du bordel. De plus un circle pit dans l'eau entraîne une force centrifugeuse assez forte pour être emporté. Junk en a fait les frais, dès le premier amorçage du virage il est parti à l'extérieur de l’aquapit et dans les profondeurs du lac. Pitiiiiin ! Il n'y avait que la go-pro qui dépassait de l'eau.

En fin de matinée c'est au camping dans la « The Cage » que Justin(e) et Ta Gueule ont jugulé la torpeur des festivaliers avec l'élan ensoleillé de leur filé le modjo, c'est donc à couille rabattue et avec le « It takes a revolution, to create a solution » de Bob Marley que les deux groupes ont satellisé leur vigueur et empreinte musicale.


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Le bon esprit de JODIE FASTER sur scène avec un humour à la hauteur des lignes de conduite qui prévaut quand on maintient une osmose relative pour un set de speed HxC oldschool, a fluidifié la vigueur brève de leurs titres.



2mn par morceau, heyyyyyyy, la précocité est de mise dans ce rapport de force brut et d'éclat de ferveur. Les Lillois sont décisifs, l'essentiel de leur hardcore se détermine autour d'une corrélation sonique sommaire à l'efficacité prégnante. Le son clair détermine déjà à la base une ligne de conduite oldschool. On est dans un art qui se prive d'artifices, et le groupe affichait cette impatiente de vivre jusqu'à la lie, avec la vigueur de faire déborder son environnement.

JODIE FASTER est percutant, mordant, incisif. Le groupe a traversé l'hexagone pour bouillir son hardcore dans la cage de l'Xtremefest et sur la Zguen stage. Retrouvez-les en ITW, en plus ils ne mâchent pas leurs mots.




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Samedi c’était costume paillette et maquillage pour la seconde année, pas mal de personne ont répondu à cet appel. Dans la salle intérieure le bal se passe devant un travestissement plaisant et bon enfant, avec déjà des costumes partant en lambeaux de lépreux dans un pit effervescent.

Le chanteur de REAL DEAL a fait le showman, dans le bon sens du terme. C'est à dire qu'il a maintenu avec enthousiasme son pit dans un état de fébrilité active. Rien à voir avec Robbie Williams qui est selon lui : « Un artiste né. Quand j'ouvre mon frigo et que la lumière s'allume je commence à chanter''. Tu vois c'est différent hein !

Le concert avait des atours de hargne et d'intensité, le groupe ne joue pas des coudes pour émousser, il apporte avec des riffs renforcés et des breaks catalyseurs une empreinte convaincante. Le public en a reçu la vibration comme une réussite (Pas le jeu de carte, hein).

L'expression « l'échec est une ecchymose » est fausse, demande à Rocky Balboa le nombre de fois où il a réussi son coup, il avait le même physique que Quasimodo après, et je constate que l'énergie que Real Deal a assaisonné n'a pas tourné au vinaigre, mais a délibérément marqué les corps et les esprits de contusions.



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L'intensité d'action brutale de MONDE DE MERDE a démontré que le public de l'Xtremefest ne cherche pas la merde d’un autre comme des chiens truffiers devant un composteur d'appartement.

Le groupe nous met le nez dans le bousier contemporain en nous hurlant que le mal métaphysique c'est l'imperfection du monde, et que le mal physique c'est la souffrance. Leur set insurge une primauté de volonté opiniâtre d'aller au cœur des choses instinctives, et d'accoler des breaks instantanés, toujours sur cet état transitoire de la fugacité de l'existence. Je soutiens que ce groupe est beaucoup plus philosophique que brutal. Il donne à mouvoir bien plus qu'un monologue de moraliste, boooooon, ce n'est pas évident d'en concevoir l'ensemble avec des titres aussi bourrus et rapides, soit. Cependant, passer à côté de la globalité de Monde De Merde c'est se pourrir soi-même.



Au WBZ on a la philosophie de vie bienveillante de Jacques Dor « On n'attend pas le bonheur, on ne court même pas après. On le fabrique, avec trois fois rien, ce qu'on a : un sourire, un mot, un élan, un vertige. C'est artisanal le bonheur, ça ne tient à rien et tout à coup, ça tient à toi. ».

Ce groupe fait de même. Il n'a pas abouti à un précipité farouche avec sa musique sans rien pour en accompagner l'existence. Derrière la brutalité d'action musicale se révèle une gestation de contraste, de nuance, une épaisseur, si c'est trop rapide pour toi, si tu n'as pas eu le temps de tout percevoir, et pour éviter que tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire « MONDE DE MERDE » ? Ce n'est pas que t’es indiscret…c’est juste que t’es un con ! », il y a une ITW du groupe qui te permettra de saisir, en autre, ce qui se cache derrière cette sentence.

Quand on parle de musique violente dans l’itw on entend le mot contemplation. Cela peut paraître surprenant et contraire, pourtant je trouve que l’on écarte trop souvent cette réflexion dans le punk. Musique brute et spontanée s’il en est, en omettant toute la réflexion en amont qui en découle, la gestation, digestion qu’il y a avant de tout jeter en pâture d’un bloc instantané.  Comme on peut vivre dans un monde de merde tout en conservant un regard lucide, ouvert et bienveillant, parce que l’on est là, présent, détaché de tout venin mais pas de la bestialité que l’on sécrète de façon naturelle. C’est un équilibre précaire en soi et au dehors. Ce groupe en a compris la juxtaposition, le contrepoids, la forme, la posture, la mesure et le déséquilibre.




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KIDS OF RAGE est un groupe dont le patronyme le porte à provoquer chez la jeunesse pimpante une farandole de torgnole dansante et d'entamer avec un jiu-jitsu chorégraphique hyper tonique.

Le groupe a fait son job comme on affirme dans le jargon journalistique quand on minaude près des petits fours. C'est vrai quoi, le chant était impeccable, le rendu propre, il n'y a pas eu d'exagération, d’ennui, le groupe a mis tout le monde en accord avec sa prestation, son attitude offensive et fun. Bien entendu c'était une évidence, avec son HxC enduit de mosh-part, les Barcelonnais vont à l'efficacité première, et cela s'en ressent fortement partout. Suite à la fulgurance du concert de Kids Of Rage, Junk souhaite (re)monter un groupe de punk-HxC. Si vous êtes intéressé.es contactez-le sur le page FB du WBZ.



Pendant le concert, il y avait un jeune garçon au dynamisme éreintant, il sautait comme s’il était sur un trampoline. Il me semble qu’à son âge je n’avais jamais osé gambader de la sorte avec autant d’insouciance et d’insolence. Alors maintenant je sais que ce n’est plus la peine d’en convenir, de plus, mes articulations ne tiendraient pas les chocs.

Doit-on dépérir inexorablement même en étant enthousiaste devant le set de Kids Of Rage ? Vous avez 2 heures…



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J'aurais franchement aimé jouer à tu me tiens par la barbichette avec le bassiste de NEGATIVE APPROACH. Heyyyyyyy même la chèvre de Monsieur Seguin n'en avait pas d'aussi aguichante, demande au Loup si tu veux.

Le punk est une crise d'adolescence, un cri d’hystérie collective pour certains redresseurs de torts. Pour d'autres il est fondamentalement un espace de liberté, un droit de parole légitime, une lutte (et parfois/souvent intestine), de récriminations, de refoulement épars, puissant et profonds.



Groupe culte munit de titre missile surpuissant, avec une discographie très réduite mais Ô combien déterminante, et qui a jalonné la piste pour de nombreux groupes par la suite, il est et demeure une fondation du punk. Le chanteur John Brannon, n'a pas décroché un mot entre les titres, un self-control de maître tai-chi-chuan assurément. Tiens je vous conseille le groupe Laughing Hyenas dans lequel il a chanté un punk blues intense dans les 90's. Même si l'approche musicale est différente, on reste dans le contre-bas rêche.

L'évidence d'entendre Negative Approach en live me confirme l'influence primordiale que le groupe a pu avoir avec un groupe comme Eyehategod, cela percute à l'oreille et par un larsen si je puis ( sans fond...du verbe pouvoir ) m'exprimer ainsi.

En parlant de puits le groupe était dedans à 350%, et ne demandait au public qu'à les rejoindre pour que la réverbération sonique pousse à la révolte, pour que tout le monde évacue en même temps que leur concision musicale purgative. Même si le guitariste est resté dos au public, et que le chanteur avait une hargne vocale indélébile.

Trois quadragénaires femmes étaient à balles devant moi sur les mélodies punks brut de décoffrage, avec des effluves de oi dans l'esprit. Pendant le set Big Jim me glissa son verdict avec la même vigueur qu’un coup de crosse de hockey dans le foie : “Ils ne l'ont pas déjà joué celle-là”, et je sais qu'il n'est pas le seul à le murmurer. Ahhhhhhh jeunesse outrecuidante perdue dans ces alcôves brumeuses avec comme unique replie spirituel de savoir ce qu'il y a à manger pour le souper du soir. Salopiaud va ! C'est vrai que tout dans l'attitude, la mélodie est et demeure primitif, le son est crust aussi. Le groupe a joué serrer et il reste vraiment très, très important pour cette sorte de colère, d'amertume, de rancœur, de révolte avec sa tumeur punk salvatrice.

Un très grand moment de punk indélébile assurément, je suis certain que dans sa digestive compréhension, même si la jeunesse s'emmerde les 3/4 de son temps de cerveau disponible, elle œuvrera par la suite à se pourlécher les babines avec ce groupe.


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Le groupe Hollandais NO TURNING BACK a magnifié sa ferveur avec son écrasante sonorité hardcore Californien, en plaquant une énergie considérable dans le pit. Surtout avec cette odeur musquée de transpiration, insoutenable pour les effluves qu'elles faisaient remonter sur celles et ceux qui étaient carapaté.es ou déjà mort à l'étage.

La fosse est très vite devenue une boite de casse-grain avec tous ces pois sauteurs. L'adhésion du public a complété à merveille la densité du groupe.

Dans leur musak les breaks rythmiques soulèvent le flow du HxC au son lourd. On pourrait penser que prendre une telle plâtrée dans la tronche va vous écraser la gueule, or c'est tout l'inverse qui se passe. C'est un rentre-dedans joyeux et léger dans la fosse à bestiau.

Sans alourdir son propos No Turning Back a déposé les claques soniques lui permettant d'astiquer les cages à miel du public, tout surpris de perdre une audition après un tel nettoyage au Kärcher HxC, en plus d'être groogy et super revivifié à la fois.



Quand même, il y avait 2 gars en train de roupiller peinard les jambes écartées dans les gradins, et oui pendant le set de Turning Back, comme quoi hein ? Les berceuses de cet acabit sont très efficaces. Parent, c'est mon conseil, arrêtez le désuet Henri Dez, immédiatement.


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L'intro de scène de THE CASUALTIES se révèle être assez surprenante en soi puisqu'il s'agit du titre « I'am a Rebel » composé par Alexander Young (sous le pseudonyme de George Alexander) pour ses frères dans AC/DC, mais interprété par Accept, groupe de heAvy metOl Allemand. Peut-être est-ce-dû à la petite taille des chanteurs Udo d'Accept et de Jake Kolatis des Casualties ?

Punk oi et refrains de street punk frictionnent le public comme une machine à laver, et fonctionne en mode 90° avec un essorage en règle. Quand tu vois l'état des fringues à la sortie, et ben pfiouuuuut. D'autant plus que quelqu'un a dû foutre de la javel dedans, il y avait des taches blanches partout.

Heuuuuuuuuu, c'est bien de la javel nan ?!?



Les coqs gaulois ont dansé sous l'irrigation d'un tuyau d'arrosage du crew de l'xtremefest en plein cagnas solaire afin de faire retomber les signaux de fumée des iroquois de toutes les couleurs. J'ai vu des crêtes bleu, rouge, manquait que le blanc aurait suggéré le borgne. C'était festif comme concert et les godillots soniques d'Exploited à G.B.H marchaient dans un riffing de rue. La morve pendait au tarin, les poings se sont levés, les gobelets réutilisables qui évitent l'utilisation du verre plastique jetable volaient dans les airs et devenaient donc... jetables. Ça pogottait gaiement en tous sens, un collé-serré de brassage ethnique punk, c'était le souk dans la fosse aurait dit la fille du borgne. Le groupe en plus de jeter en pâture ses titres bondissants nous a prodigué une cover des Ramones, intitulée « R.A.M.O.N.E.S. » chanson de Motörhead, en hommage aux Daltons du punk rock, disponible sur l'album « 1916 » paru en 1991, et conçu par Lemmy.

Ce concert de Street punk a été ce que le fumier est à la culture maraîchère, un fertilisant.



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Sing along et punk mélodique, douceur du soir mielleuse autour d'IGNITE.

Le hardcore mélodique datant de 1993 du combo a souligné à merveille la puissance émotive à la coOol Californienne de ce groupe du Comté d'Orange. Je dis cela au cas où vous aviez une vision très très réduite puisque le Backdrop le stipulait.

Le chant de Zoli Téglás est hyper juste et tout repose dessus. Non que la musique en soi se cache derrière, mais que sa justesse vocale et l'amplitude mélodique qu'il transmet vient se loger en plein cœur. Avec quatre albums et 2 décennies, porteur de paroles humanistes et écologistes afin de jouer de la musique pour changer les choses, le groupe traduit sur scène une force musicale sur laquelle il faut compter. En grattant dans les premiers albums révérenciels, et des covers de Bad Religion « We are only gonna die » et de U2 « Sunday Bloody Sunday », Ignite assure son set.



L'efficacité et le sens de toute musique se mesurent à la façon dont elle devient partie intégrante de soi. Il est plus qu'évident qu'Ignite pointe dans le cœur des choses solubles cette forte émotion subtile. C'était visible auprès d'une femme près de l'ingé son, car elle remuait lascive, et quand vous croisiez son regard son sourire flottait avec le ravissement d’un embrun dans la délicatesse musicale du groupe.

Tout le set fut abouti par une sagesse et force mélodique, et lorsque le trouble s'évapora, les yeux étaient embués, le corps se dérobait à sa mise à nu, le cœur laissa échapper du fond des soupirs des pensées de plénitude vers une latitude optimiste.



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Les cartoonesques TOY DOLLS ont cartooné.

Ben tiens, avec leur caoutchouc punk, vif, élancé, les fringants vieux de la vieille punkitude (Olga l'unique survivant depuis 1979) ont usé de souplesse et de contorsion afin d'ajourer leur plastique musicale extensible. Le public en raffole, c'est sautillant, explosif de saveur colorée, c'est festif, et un samedi soir de carnaval c'est pile dans le jus du Xtremefest.

Si « Vouloir être quelqu’un d’autre c’est gâcher la personne que vous êtes. » selon Kurt Cobain, il est avéré que Toy Dolls est celui qu'il doit être depuis toujours en restant celui qu'il est à jamais...Eeeeet merde, relis alors !



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Séance d’ostéopathie gratuite avec SICK OF IT ALL.

Se faire craquer les vertèbres par les légendaires New-Yorkais demeure une expérience bienfaitrice.

C'est toujours le même concert et toujours la même envie de jouer après toutes ces années. C'est dingue et cela peut-être une définition de la passion me semble-t-il ? Musicalement la formule est éculée, on pourrait affirmer que SOIA est comme ACDC, Motorhead & co, il se satisfait d'une recette musicale unique, ayant labellisé son culte. Aucune prise de risque, le groupe va à l'essentiel, ne recycle même pas, d'ailleurs pourquoi le ferait-il ? Le seul a tourné en rond c'est le public dans des circle pit avec la banane comme sourire. Le groupe est fier, affiche une attitude positive, fédératrice, s'éclate à fond, prend son pied, toujours avec le sourire, c'est imparable comme joie et plaisir fédérateur à transmette.



« Quand je suis sur scène, le sauvage en moi est en liberté. J'aime redevenir un homme des cavernes. Il me faut six heures pour me calmer après un concert. » Angus Young.

Oui le HxC punk de SOIA honore les valeurs du live qui ont fait sa renommée une fois encore, et ce depuis toujours. Le groupe n'a pas le melon en appartenant au culte HxC de la grosse pomme, il a le sens du respect réciproque.

L’Entertainment avait créée des faux-dieux, non seulement au moral mais aussi au physique. Sick Of It All est venu restaurer ce qui avait été perdu, il transforme le corps de notre génuflexion en le rendant semblable au sien avec une honnêteté non dissimulée, avec une fraîcheur de quinquagénaire inusable, comme une claque de vérité en un pur jus de concentré Hardcore !


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Je me répète mais les déguisements ont coloré l'Xtremefest. Au bar du vip, le costume est à la Marine, plein de matelot.es (je suis pas sûr de la féminisation ortaugrafike du mot) Olivier de l'association La Lune Derrière Les Granges ressemble au Capitaine Haddock dans une version de luxe et lounge de la Croisière S'amuse.

En seconde partie de soirée c'est Disco Bestiau avec un DJ qui met le feu à la platine, au sens comme au figuré. Pendant les indécentes beuveries de fin de soirée, je concours contre un pongiste avéré sur une porte dégondée, devenue table de ping-pong sommaire. Cette partie à l'aveugle avec Guillaume Circus permet de vous annoncer un retour proéminent de l'émission de radio Joining The Circus. Hip hip hip !

Sur le dance-floor le smurf rock'n'roll de Gwardeath ne laissa aucune chance aux autres mâles d'épater des femelles déjà sous le charme invertébré du Basque bondissant, d'autant plus munit d'un french flair toujours aussi actif pour caler des jeux de mots très subtils dont vous pouvez en retrouvez la teneur outrecuidante et à la coOol avec son report " Oui aux ambiances foreuses, non aux ambiances foireuses " de l'Xtremefest 2019. Dans le mercato journalistique, sachez par ailleurs que cet imminent personnage du monde libre du fanzinat sera très prochainement à la fanzinothèque de Poitiers dans un rôle d'encadrement.

Rappelez-vous le précepte d'Eddie Spaghetti (The Supersuckers), qui colle à la peau de Gwardeath : « Le rock'n'roll vous maintient dans un état constant de délinquance juvénile ».


Retrouvez tous les lives, ITW de cette journée, captés par Big Jim & Junk via la chaîne youtube WALLABIRZINE ; et les photos de Junk Cacahuète et jus d'orange sur la page FB du WBZ.


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