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Vendredi 02/08/2019

« Le rock’n’roll est une explosion nucléaire de réalité dans un monde banal où plus personne n’est autorisé à être magnifique » dixit Kim Fowley.

Traduit la même équivalence en termes d’adrénaline luxuriante avec l’Xtremefest et tu auras un avant-goût tenace de ce qui advient.


L'équipe du festival a privilégié ses festivaliers avec un renforcement au camping et une vigueur à satisfaire son bien-être. Il a aussi fait le choix de protéger ses bénévoles pour qu'ils puissent façonner un festival à la hauteur d'humanité de l'association Pollux. De ce fait, tout le monde se sent bien. On vient à l'Xtremefest pour partager cette complicité, tolérance, fraternité, liberté...Une façon aussi d'évacuer, de se détendre, de s’amuser. Des expressions souvent galvaudés de leur sens premier malheureusement, parce que « se divertir » de la sorte apporte du liant à ce que vous décidez d’être.

Oui, je sais ce n'est pas commun de se foutre des pralines dans le pit pour se trouver une forme de satisfaction intérieure, très reposante en soi finalement. D’autant plus que l’on euphorise beaucoup aussi tous ces trucs enfouis, puis quand il s'agit de déconne, oh pitinnnnnnnn...


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Vendredi la température exprimée par météo France culminait avec celle de Tobrouk en Libye, et le ressentie avoisinait avec celui d’un crématorium. Suer comme un goret est une expression que je n’arrive pas en termes de métaphore à comprendre, mais à sentir alors là oui.

GREEN DEVIL'S TENTACLES était venu d'Angoulême uniquement pour se rôtir la tronche dans la X cage. Ce qu'il a fait en peinturlurant à coup de densité Ramonesque. Si tu t'es tapé le cul par terre, que tu as tapé du pied, mâcher de la punk-gum devant l'interprétation caoutchouteuse du band, ou bien même si tu t'en branles (et il y a un paquet de branleurs et de branleuses sur le net, si, si), bref si pour une raison ou une autre tu veux en savoir davantage sur Green Devil's Tentacles, le WBZ a réalisé une ITW impromptue des gaziers le dimanche soir alors qu'elle était prévue le Vendredi à la base. Ok basta cosi & kiffe ta race :



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REAL DEAL a fait mordre la poussière à des xtremefesteurs.es en plein cagnas juste après, et toujours dans la fameuse X STAGE. Ce groupe a un engagement prolixe en HxC, puisqu’il possède des titres à l’agressivité tenace et une combativité à toute épreuve. Le résultat c'est que le public était aussi vidé qu'une truite meunière pendant sa calcination dans une poêle ébouillantée d'huile.

On a fait une ITW avec un rescapé du groupe, les autres étaient au lac pour éteindre la brûlure de leur set. Rencontre.




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Sur la Zguen Stage à l'extérieur, JUSTIN(E) a zguené à la cool.

Cela signifie qu'il a animé avec la passion qui le caractérise une unité de ton punk en menant le combat des exclus. Une simplicité active pour une forme de liberté tenace et totale. En ¾ d'heure Justin(e) a sorti les arguments nécessaires pour déployer une réciprocité de valeurs avec le public. Leurs textes sont intelligents et la musique permet avec une sorte de spontanéité de lier l'ensemble. Mais ne vous fiez surtout pas aux apparences, derrière ce punk, si vous creusez un peu vous allez entendre les contrastes, et surtout cette manière offensive de joindre la hargne des constats avec une touche d'humour grinçant et libérateur. La meilleure défense c'est l'attaque...face à l'oppression.



J'entends que beaucoup de groupe ne veulent pas trop s'engager, alors qu'ils le font, tout acte en soi est politique. Justin(e) sans faire cause d'un prosélytisme exagéré fait partie de ces groupes qui ont l’honnêteté de leurs convictions et apportent à la scène une réflexion. Le punk ce n'est pas la défonce, c'est une révolution, une façon d'inclure l'homme à son humanité profonde, vers la sédition (Message straight-edge). Cela passe par la provocation, la contestation, l'autogestion, l'indépendance, libre-arbitre, délivrance, acceptation. De coutume grivoise le punk c'est l'indifférence et joie festive dans la provocation. Est-ce le sens du punk que d'être capable de se remettre en question pour sortir des modes de pensées qui oppriment les plus faibles ? Vous avez 2 heures...


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Justin(e) partage avec l'Xtremefest cette disposition naturelle dans leur ADN. C'était un véritable moment de partage autour de valeurs communes, la définition de la communion en forme d'exutoire c’est clair ! Le lendemain comme communion, Justin(e) était dans la X cage, un sacré baptême. Sur la chaîne du WallaBirZine il existe une ITW de Justin(e) si tu veux.


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« J’aime les gens qui secouent les autres et qui les rendent mal à l’aise. » Jim Morrison



Ahhhh l'audace de passer pour un connard n'obtient la grâce uniquement devant la comparaison d'une amertume tenace et face à l'incompréhension qu'elle suscite.

Attends, ne soit pas con.ne, relis la phrase plusieurs fois au moins. Insiste, prouve-toi que tu existes.

Parce qu'il fallait faire de même avec les connards de TA GUEULE. Oh mes ami.es, mais quel groupe de génie, vraiment. Usurper à ce point les codes du punk et les renvoyer comme un boomerang dans la tronche, j'ai toujours apprécié la noblesse du geste surtout quand les paroles voltigent vers cet acabit. Selon baloo (du livre de la jungle) : Il en faut peu pour être heureux. Relis tes classiques merde...

De plus ce band est déraisonnable, instinctif...et frontal surtout. Ces salopards n'y vont pas avec le dos de la cuillère, mais avec une louche, ce n'est pas douteux. (Bimmm, celle-là à l'eurovision elle équivaut à 2 points for Azerbaïdjan from Sweden).

Un brin de provoc + le gras de l'huile de palme écoresponsable (nannnnnnn je déconne, mais avec masque et tuba…Peut-être même chipé Jeudi aux Pastors Of Muppets, qui sait ?) + le cri luxuriant du HeAvy à moustache (avec cuir, cartouchière et clou saillant) + le punk cynique à Biafra + des jeux de mots outranciers = Ta Gueule.

Souvent incompris, jamais égalé, le groupe suit une discographie qui ne sème pas le doute mais permet la controverse, avec la certitude d'entendre le choc te pénétrer dans les naseaux pour te retourner le cerveau. Si dehors on te proposait une insolation, à l'intérieur de la Family Stage le groupe demandait une insolence-tion (BIM celle-là à l'eurovision elle équivaut à 6 points chez euromasters for Moldavie from Lettonie)

Un embarras relatif à la crédulité a stérilisé le public loin des codes qu'il mâche dans une niaiserie de collège. Je me rends compte qu'avec la propagation des réseaux sociaux où chacun se croit important par le seul fait de ses abonnés, followers, et autres...Il est difficile aux groupes d'attirer suffisamment l'attention face à des personnes narcissiques, voire même de sortir les gens de leur zone de confort, de les confronter à de l’inattendu, à une inversion des codes, sorte de contrepèterie irascible et non conventionnelle.

Exemple concret de détournement (subtil) et en image :


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Si chacun comprend en fonction de son vécu, de ses convictions, de son parcours, aujourd'hui chacun vit dans son monde et non dans le monde. C'est le plus embarrassant fatalement.

Comme ce groupe a de la bouteille (je dirais qu'ils sont fans de 33 export brune à vue de nez, et les gars ont une haleine de vieux poneys de cirque passé minuit), le set est rôdé avec pertinence, chacun est à sa place, et Ta Gueule est impérieusement le meilleur pour apparaître en connard cynique tout en envoyant (et les gens l'oublie trop souvent) un putain de rock'n'roll bien punk, incisif, et tout à la fois mordant et percutant. La frontière avec le crust est aussi mince que la peau d'une couille de la grosseur d'une pastèque espagnole.

La vie est un terrain de jeu ouvert, Ta Gueule l'a bien compris, tout à ses dépens. En concert c'est un happening, un suicide collectif, c'est tout une conceptualisation de flagellation ultime et interactive par exaspération réciproque. C'est no bullshit, place à la déconne et au gras sonique. Puis comment oublier en plus d'une interprétation ostensible ce backdrop minuscule aussi illisible que celui géant d'un groupe de black metOl. Hein ? Non mais vraiment quoi !!

Et vous savez quoi ? On a fait une ITW d'enculé avec ces connards.




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Le programmateur du Xtremefest l'avait annoncé, TRC va mettre tout le monde d'accord. C'est exactement ce qui est arrivé. Donc si vous avez des questions sur votre futur, un désenvoûtement, contactez David, cartomancien-voyant-medium-guérisseur à ses heures : 06 22 79 76 50.

On retient l’agressivité et l'humilité des anglais. Beaucoup d'énergie dans ce set, le groupe a joué en plein soleil, jointant dans ses efforts un groove omniprésent et des fulgurances fulgurantes (mais bien sûr que si j'ai le droit à ce genre d'assonance).

Complémentaire le duo au chant a fait preuve d'une cohésion lui servant de force de frappe ultime. Une découverte pour la plupart du public et un coup de cœur par la même occasion, le groupe a marqué les esprits et les cœurs.



Les gars sont même étonnés du monde et de l’accueil, peut-être se sentent-ils redevables parce qu'ils mettent les bouchés double à satisfaire les démangeaisons tenaces d'un pit en une effervescence active. TRC profite de cette densité pour joindre un transfert de passion et de ferveur avec l'Xtremefest.

D'ailleurs à ce festival les groupes ne brillent pas à la lumière pour disparaître une fois le micro éteint comme un mystère irrésolu, puisque très souvent vous pouvez les trouver au merch, ou à partager avec le public les autres concerts. C'est une contiguïté de fusion.


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VITAMIN X et son crossover punk hardcore/ thrashcore straight-edge est inoxydable. C'est un véritable catalyseur oldschool de plus de 20 ans d’âge.

Le son était brut, rêche, l’interprétation paraissait brouillonne mais elle était oldschool XXX. On est dans la sève punk de l'uppercut, dans un cadre d'âpreté et de friction vorace, munit d'un déchaînement sans pareil, et avec le fun pour en distiller la pulsion sonique. Les néerlandais donnent avec franchise une décoction simple, brutale et radicale de la rébellion hargneuse conçue avec l’héritage des 80's allant de Minor Threat à Youth Of Today.




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Il y avait de la crème après Vitamin X, et c'était celle de NO FUN AT ALL. Le public a pris une rasade de liqueur mélodique, de douceur punk rock. Oui cela faisait un bien fou pour finir l'après-midi ensoleillée. La présence scénique était à son plus simple appareil, puisque la musique se suffisait à elle-même. Tout le set était carré, fluide, onctueux, pénétrant, dans la veine, le mood d'un Bad Religion. Le chant était parfait et c'était primordial qu'il le soit. Les musiciens tous dans une justesse de ton, ont élevé la force d'attraction.

Babach et Gimmy du goupe HypocondriaX ont retrouvé pendant ce concert leurs copains de leur 14/15 ans, sorte de Delorean puissante et vitaminée, autant en nostalgie douceâtre qu'en vrai plaisir contemporain.

Les suédois de NFAA n'en font pas des caisses, ils attisent la flamme essentielle d'un punk rock mélodique pareil à un forgeron maniant l'acier avec la délicatesse de former une fine lame. C'était cooooooooool, sucré, peinard !




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C'était annoncée, "ikusi arte tour" est une tournée d'adieu pour les basques de BERRI TXARRAK et leurs 25 années d’existence.

Qu'est-ce que cela doit faire de raccrocher les gants ? De jouer des morceaux avec une part de vertige supplémentaire avant le vide ? Ce trio joue avec une densité libératrice. S'accorde sans amertume à profiter de chaque seconde en concert, afin d’épouser dans la puissance émotive de l'instant une impressionnante correspondance avec leur musique. Mélange idoine de punk rock frénétique gorgé par cette âpreté et folie ibérique. Mais pas seulement, c'est aussi un gros rock, parfois même stoner, avec des allitérations puissantes, une intensité de contrastes, et une lourdeur de ton.

Une bien belle leçon d'attitude, de respect, d'humilité émane de leur set, en plus d'une symbiose musicale dans tout ce que cela véhicule comme émotion, valeur et sensation. Le trio avait la complémentarité d'offrir une exécution sans faille. Le batteur portait un t-shirt du label Alternative Tentacles Records et le chanteur/guitariste changeait de guitare assez régulièrement pour des tonalités différentes, tout une culture de respect pour une subtilité de nuance musicale.

Il tonnait dans leur set ce mélange fielleux de fer et d'acier, en plus d'une forme voilée de surtension sonique et de force atrabilaire. Berri Txarrak quitte la scène à pas de loup, comme un lion.




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LUGWING VON 88 et son punk alternatif pour ceux et celles qui ont vécus les 80's et les autres qui veulent en retrouver la couleur, c’était valable pour les 10 à 90 ans, je retiens 20 en connerie, multiplie par 12 fois la phrase : je ne dirais pas du mal du punk à chien qui vomit sur ses rangeots, ce qui fait 88, le compte est bon.

Le public est une balle remuante avec cette plaisanterie musicale. C'est aussi frais qu'une kanterbrau dans un chantier de maçonnerie à Agde. Heyyy je connais très bien le bâtiment et travaux public, fait gaffe on ne me l'a fait pas à moi.

Gros ballon dans le pit, riffs de collégien, pogo de sardine, les festivalier.ères s'amusent comme des pingouins sur un dance-floor savonneux.



Pendant ce raout je rencontre le crew du 12, c'est à dire les 2 frères jouant dans Enlòc, du punk rock de cabournas, ils me semblent qu'ils ont encore grandis ces petits, Auré me répond que Dans l'Aveyron ils sont grands parce qu'ils cherchent la lumière comme une plante. Bim extra-balle, rejoue ! Je rencontre Mick, autre personnage récurrent du festival, photographe de passion et aussi fier à bras dans le groupe de punk rock Hemsi.


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BLACK BOMB A +, autant pour son côté sanguin que comme valeur sûre dans le courant hardcore mélo hexagonal est toujours aussi impressionnant. Le groupe tient la scène et le public avec une expérience suintant l'énergie et l'action fédératrice. Le groupe marque les corps à l'endurance, avec le coup du bélier sur des chèvres apeurées. Dans le pit c'est un mélange de karaté shôtôkan et de maul bitérrois. Tu vois le bordel ?

Les gars fécondent un set offensif, musqué, criblé par le duo au chant entre cri aiguë et râle viril, là où l’éclair sonique déchire la nue et rugit le tonnerre, tous se relèveront avec la fraîcheur et la vigueur d’une éternelle jeunesse.

À l'intérieur il fait aussi chaud que dehors j'ai l'impression, non, non ce n'est pas qu'une impression...


transpiration excessive


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CANCER BATS et son raw'n'roll HxC, c'est quelque chose…de puissant, et de catchy aussi.

Il y a une accointance avec le groupe Black Tusk et son gros groove pour stoner hardcore.

Le public est en formation serrée, en bloc autour des breaks rythmiques et de cette énergie salvatrice de transe groovy. La fréquence lourde de la musique impose un choc brutal, parce qu'entre le fracas des os de la rythmique, puis l'éclat scintillant de la faucheuse riffique, échappée des enfers, c'est un étau.



Le récit du set se teinte alors de la passion que les fuyards nomment de survie, avec parfois, mais il faut tendre l’oreille gauche loin du cerveau reptilien pour en apprécier l'enrobage, cette caresse brutale de sanctifier une impureté de vagues de sang dans le ressac mélancolique.



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« Les blancs avaient très peur que le rock anéantisse toutes les barrières qu’ils essayaient de dresser entre eux et les noirs. Et le rock les a bien détruites, en montrant que les blancs et les noirs avaient beaucoup de points communs, en mixant leur culture. Et la peur que ces gens avaient de voir un jour des noirs communiquer avec leurs enfants était un vrai mensonge. » Terence Trent D’Arby, 1987.


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Avec SVINKELS c'est la génération H.I.P H.O.P de Sidney rejoignant la bêtise du premier opus des Beastie Boys et de la compilation Rappatitude...Bien sûr c'est ma définition de Svinkels. Fais-toi la tienne.

L'Xtremefest appose un trait d'union à sa programmation, bon pour autant, le rap est partout, Bro ! C'est la musique populaire number one. Les codes sont rentrés dans les mœurs. Le public adhère à la coolitude du trio et des beats gras au groove patent des basses, avec en extra Waxx à la guitare (tu connais ? Un blogger reconnu apparemment).

Depuis les 80's avec l'éclosion du punk des noirs, c’est à dire le rap, ce style s'est jumelé avec d'autres, il s’est même dissout partout. Il y a eu entre autre un mélange des genres avec l'intégration du flow du Hardcore, le punk alterno des bérus, plus le crossover des 90's ( rap, rock, metal, fusion, musique électronique), libérant les communautés respectives à s'ouvrir aux autres pour défoncer les portes musicales afin que chacun soit tout à la fois. Après cela, tu allais farfouiller dans tous les bacs chez le disquaire.

Le quoi ? Laisse béton comme dirait l'ivrogne et tatatan. Le rap est partout, Bro ! C'est la musique populaire number one. La maxime « Le rock domine, le rap s’incline » est périmée.

Svinkels c'est un truc à se fendre la pêche, impeccable pour un festival, le public de l'Xtremefest le sait car Svinkels « réveille le punk ».

Ce groupe a filé le modjo par la suite à une flopée de groupe style : le Klub des losers, TTC et leur feat sur le titre "Association 2 gens normal", Kod Breaker, et même Stupeflip, mais ouiiiiiii, carrément.




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Pour finir la soirée, STINKY a remué la braise du pit...Et pas qu'un peu, comme à son habitude.

Ce groupe est une valeur sûre. C'est direct, carré, ça t'apporte une énergie considérable, ça foudroie en même temps que ça te claque sur les fesses. Tu finis sur les rotules avec Stinky, heyy dernier concert du soir, je te le rappelle, donc acouphène, fatigue physique et cérébrale, et encore je suis à côté de l'ingé son, je ne t’explique pas dans la fosse les pralines qui pleuvent et il faisait encore 32° Celsius, toujours à côté de l'ingé son, dans le pit c'était du 45 ressenti très certainement. Quoiqu’une patate dans le foie, te coupe le souffle direct et fait descendre ta température corporelle, une solution parmi tant d'autres pour se rafraîchir comme on peut, hein...



Les Nantais affectionnent l’interaction, ils ont été servis, le groupe l'a bien compris et produit un set à la hauteur de son désormais titre de champion. Fini d'être challenger, Stinky possède autant de crochet du droit et du gauche pour te filer une sacrée leçon de style.

Tu peux retrouver l'ITW de Stinky à Albi par le WBZ.


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Retrouvez tous les lives, ITW de cette journée, captés par Big Jim & Junk via la chaîne youtube WALLABIRZINE ; et les photos de Junk Cacahuète et jus d'orange sur la page FB du WBZ.